۷ آذر ۱۴۰۳ |۲۵ جمادی‌الاول ۱۴۴۶ | Nov 27, 2024
Code d'info: 360826
23 novembre 2024 - 11:49
فَلا یَنْکَفِی‏ءُ حَتَّى یَطَأَ جِناحَها بِأَخْمَصِهِ،

Hawzah/Il était le plus proche du Prophète. Il était le seigneur et maître parmi tous les « Amis » [Awliâ] de Dieu. Il était toujours disponible et prêt à obéir au moindre Commandement; il conseillait dûment les gens, et il était assidûment occupé et activement diligent!

(A.P.Hawzah) -Le sermon de Fadak (arabe: خطبه فدك) est le discours de Fatimah al-Zahra (sa) Dans la mosquée du prophète Muhammad (PSL). Fatimah Zahra (sa) a prononcé ce sermon en présence d’Umar, Abu Bakr et d’un groupe de compagnons de Prohpet qui s’étaient rassemblés dans la mosquée. Elle est entrée dans la mosquée avec un groupe de femmes et son serviteur de confiance. Fadak faisait partie de la prime donnée au Prophète. Bien avant sa mort, il l’a légué à Fatimah (a.s.). Néanmoins, peu de temps après la mort du prophète, il fut pris d’elle par l’ordre d’Abu Bakr, et ils laissèrent aussi sortir toutes les personnes qui y travaillaient.

Sur le chemin de la mosquée, Fatimah s’en allait avec calme et sérénité, alors qu’elle était très fâchée. Sayyidah Fatimah avec la confiance en soi et la sérénité a essayé de la récupérer. En outre, elle mit son voile et sa robe et vint, avec ses servantes et quelques-unes de ses compagnes marchant exactement comme la démarche de son père, vers Abu Bakr, qui était dans la mosquée parmi une foule de Muhajerin, d’Ansar et d’autres. Un rideau a été mis entre les femmes et les hommes. Elle a commencé à faire un beau discours et a dit aux gens qu’Abu Bakr lui avait enlevé ses droits. Puis elle a commencé à pleurer et les gens ont commencé à pleurer par son discours. Elle a attendu jusqu’à ce qu’ils cessent de pleurer et soit devenue calme et a commencé son discours.

A l'occasion des jours ”Fatimaya”, le martyre de la noble fille du Prophète (PSL), L'agence de presse de "Hawzah" présente à ses lecteurs les différentes sections du sermon de Fadak dans plusieurs numéros intitulées " Le sermon de Fadak ".

کُلَّما اَوْقَدُوا ناراً لِلْحَرْبِ اَطْفَأَهَا اللَّهُ، اَوْ نَجَمَ قَرْنُ الشَّیْطانِ، اَوْ فَغَرَتْ فاغِرَةٌ مِنَ الْمُشْرِکینَ، قَذَفَ اَخاهُ فی لَهَواتِها، فَلا یَنْکَفِی‏ءُ حَتَّى یَطَأَ جِناحَها بِأَخْمَصِهِ، وَ یَخْمِدَ لَهَبَها بِسَیْفِهِ،

De sorte que: « Toutes les fois qu’ils allumaient un feu pour la guerre, Allah l’éteignait. » [al-Mâ-îdah –64]

Et toutes les fois que les cornes du Diable apparaissaient, ou bien qu’un dragon parmi les mécréants ouvrait sauvagement la gueule et ne voulait faire qu’à sa tête, le Prophète [que Dieu accorde la Gloire et la Paix à lui et à sa sainte Famille] envoyait son frère [Ali] à leur poursuite, et le jetait dans la gueule béante du dragon!

De son côté, Ali ne s’arrêtait jamais de combattre l’ennemi, et ne revenait pas tant qu’il n’avait pas coupé leurs têtes! Il ne revenait qu’après avoir éteint le feu ennemi à l’aide de l’eau de son épée.

مَکْدُوداً فی ذاتِ اللَّهِ، مُجْتَهِداً فی اَمْرِ اللَّهِ، قَریباً مِنْ رَسُولِ‏اللَّهِ، سَیِّداً فی اَوْلِیاءِ اللَّهِ، مُشَمِّراً ناصِحاً مُجِدّاً کادِحاً، لا تَأْخُذُهُ فِی اللَّهِ لَوْمَةَ لائِمٍ.

Ali souffrit grandement dans le Sentier d’Allah et se donna corps et âme à la tâche d’obéir aux Commandements Divins [Amr], et s’efforça laborieusement dans cette voie.

Il était le plus proche du Prophète. Il était le seigneur et maître parmi tous les « Amis » [Awliâ] de Dieu.

Il était toujours disponible et prêt à obéir au moindre Commandement; il conseillait dûment les gens, et il était assidûment occupé et activement diligent!

وَ اَنْتُمَ فی رَفاهِیَّةٍ مِنَ الْعَیْشِ، و ادِعُونَ فاکِهُونَ آمِنُونَ، تَتَرَبَّصُونَ بِنَا الدَّوائِرَ، وَ تَتَوَکَّفُونَ الْاَخْبارَ، وَ تَنْکُصُونَ عِنْدَ النِّزالِ، وَ تَفِرُّونَ مِنَ الْقِتالِ.

Et pendant ce temps, vous vous trouviez dans le confort et viviez dans une tranquillité parfaite, et prospériez dans une sécurité rassurante. Vous attendiez que des catastrophes et des calamités [terribles] nous affligent et nous frappent… [La Famille du Prophète]

Vous attendiez [impatiemment] pour que de mauvaises nouvelles vous parviennent à notre sujet. Et là où il était question de vous combattre et de faire la guerre, vous préfériez vous battre en retraite; et quand vous deviez vous trouver dans un champ de bataille, vous choisissiez toujours lâchement la fuite!

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